• Chapitre 1 : Arrivée

     

    Aujourd'hui, c'est le grand jour. Je vais à Paris où j'ai été muté comme entraineur et palefrenier dans un prestigieux haras. Le haras des « Fleurs des vents » à 803 chevaux, 20 hectares de pâtures, plus de mille box et des installations de hauts niveaux. Je m'occupe de cinq chevaux, pour l'instant. Ce sont des purs sangs, les meilleurs chevaux qu'il existe. Je suis partie très tôt ce matin, à six heures mon réveil sonne. Je prends le bus 3, je change de bus, puis je prends mon train. Enfin je peux me reposer, j'ouvre mon livre et je lis tout en réfléchissant. Et si mon patron n'était pas très sympa. Je m'interdis de penser à des trucs aussi bêtes. J'ai deux belles heures devant moi, alors ça ne sert à rien de commencer a stressée. Quand j'arrive à Paris je saute dans le bus qui m'emmène vers mon nouveau logement. J'ouvre la porte et commence à visiter, l'appartement est assez grand et spacieux. Il me reste encore du temps avant que j'embauche, il me reste environ une heure. Au menu de ce midi : Pate bolo'. Le téléphone sonne, le temps que j'éteigne la télé, que je traverse le salon, que je me mette à courir, se foutu appareil avait déjà sonné quatre fois.

    Moi : oui allo !

    Une voix de femme : -d'une voix enjoué- Oui, je suis Léa, votre voisine de gauche

    Moi : Oui d'accord, moi c'est Sophie, Sophie JASMIN.

    Léa : mm, je vous téléphone pour savoir si cela vous dérangerait si le samedi soiron fait un peu de bruit ?

    Moi : Non pas du tout.

    Léa : D'accord merci, je vous laisse mon numéro. C'est le 02 75 87 09 10.

    Moi : D'accord j'ai pris en notes. Mais comment avez-vous eu le mien ?

    Léa : Je suis chez la concierge. Est-ce que je pourrais avoir votre numéro ?

    Moi : Bien sûr, alors, c'est le 02 75 61 04 32.

    Léa : Bah a bientôt

    Moi : - soulagée qu'elle termine la conversation- Oui a bientôt

    Il est onze heures dix-huit, j'attrape vite mes clés, mon manteau, mon sac d'équitation et mon sac à main. Je viens d'arriver à l'arrêt le bus s'arrête. J'entre. Le conducteur me fait un sourire, c'est un jeune homme d'une vingtaine d'années, il est plutôt beau gosse. Je lui réponds par un sourire timide et gêné. Je vais m'asseoir et sort mon portable de mon sac à main. J'ai un message. C'est ma mère:

    Coucou ma puce, pourquoi m'as-tu pas encore envoyé un message. Tu n'es pas arrivé. Je m'inquiète pour toi. Il y a eu un accident de train. Je suis sûre que c'est le tient. Répond moi vite, tant que tu ne m'auras pas répondu je me ferais un sang d'encre. Bisous. Maman.

    Je commence à lui réécrire :

    Maman, ne t'inquiète pas ce n'es pas mon train qui a eu un accident. Je suis bien arrivé et pas en morceau, pas de stress. L'appartement est génial, pas trop petit ni trop grand et spacieux. Je vais bosser. Bises .Sophie.

    Laisser des commentaires.

     


    Tags Tags : ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :